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 Xiong Tao - Le pouvoir à seuls ceux qui savent le gérer.

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Xiong Tao
Xiong Tao
METATRON
MessageSujet: Xiong Tao - Le pouvoir à seuls ceux qui savent le gérer.   Xiong Tao - Le pouvoir à seuls ceux qui savent le gérer. EmptyMar 24 Fév - 17:03


   recrue Xiong Tao

   
   
   
   
   
   

   nom: Xiongprénom: Taoâge: 30 ansdate de naissance: 22/06/84lieu de naissance: Beijing, Chineorientation sexuelle: hétérospécialisation: rChef du groupe - torturenom de code: Butcher groupe: terroristecélébrité choisie:Kim Woo Bin
   

   histoire
   

« Le pire tyran n'est pas l'homme qui gouverne par la terreur. Le pire est celui qui gouverne par l'amour et en joue comme d'une harpe. »
Gilbert Keith Chesterton

Vivre et ne jamais gagner. Voilà quelque chose de bien triste. Mais vivre et n’avoir pas le droit de gagner est une chose bien pire encore, une injustice difficile à supporter. Parents pauvres et malades, école délabrées, situation précaire. Voilà ce qui résume très bien l’enfance de Tao. D’ailleurs, le temps de l’école n’a pas duré longtemps. Il a fallut s’éduquer seul parce que les pauvres n’ont pas d’argent pour payer les fonctionnaires. Parce qu’ils n’ont pas les moyens de payer les impôts, alors on considère qu’ils ne les ont pas pour éduquer leurs enfants aussi. La Chine, contrée si minable qui ne privilégie que l’élite ! Si le gouvernement s’était douté à l’époque qu’il  venait de façonner l’une des personnalités les plus effrayantes de l’Asie à l’époque, sans doute aurait-il agit autrement ? Quoique non, en y repensant, Tao se dit bien qu’il aurait éliminé la source du problème dès le départ. Ca coûte trop cher de toutes manières, de remettre un pauvre sur le droit chemin, autant l’abattre d’un coup de balle en plein front.  

A quoi bon essayer d’être un gentil garçon, lorsqu’à huit ans déjà, on vous accusait d’avoir volé une boulangerie ou d’avoir piqué des pommes au marché alors qu’on tentait d’attraper le voleur ? A quoi bon se faire chier à rendre service à la communauté si celle-ci vous envoie en prison pour chaque pas que l’on fait ? Comment peut-on être aussi odieux et injuste envers un enfant de huit ans avec une famille affaiblie, portant le fardeau des travaux que les riches ne voulaient accomplir, sans plus aucune attache ? S’il n’a plus l’école pour lui apprendre la vie et plus de parents – car trop occupés - pour lui apprendre l’amour, comment ferait-il pour survivre ? Tao avait trouvé une solution, mais elle n’était pas celle qui menait vers le chemin du paradis. Et autant dire que déjà à ce jeune âge, il n’en avait plus rien à faire d’autrui. Le garçon désirait simplement survivre.

Alors après avoir été accusé à tort maintes fois, le chinois décida de l’être pour de vraies raisons. Voler, racketter, receler, aucun moyens de se faire de l’argent pour manger le soir, pour trouver un abri la nuit, outrepassait. Tao devenait mauvais, devenait sauvage, comme un enfant seul dont personne ne voulait, qu’aucun ne souhaitait aider. C’est bien beau, le système communautaire, mais alors pourquoi le garçon avait-il l’impression que c’était juste un prétexte pour exercer discrètement le « chacun pour soi » et de punir ceux qui réclamaient soit-disant plus alors qu’ils n’avaient juste rien du tout ! Système communautaire de pacotille qui laisse mourir de faim les pauvres et engraisse les riches.

A l’entrée de la dizaine fut aussi l’entrée dans un nouveau monde, bien plus sombre et qui convenait bien mieux au jeune Tao. Devenir un dur, être formaté. Non, ça n’était pas pour lui. Tao n’est pas ce genre de poupon à qui on lave le cerveau pour en faire une machine de guerre. Tao était déjà devenu comme ça à l’époque. Il était déjà cet homme de la trentaine qu’on a le loisir d’observer froid, cruel, dur et en proie à une rage sans nom qui désire lutter contre cette injustice si présente, trop présente dans ce monde de merde. Le chinois à alors grandit sous le protectorat d’un des grands hommes de l’organisation. Pas d’amour paternel, enfantin, pas d’amitié, pas de joie ou d’émerveillement. Toujours cette colère grossissante qui émanait de son corps qui se musclait peu à peu et cette aura de commandant qui naissait chaque jour un peu plus. Tao n’aimait personne, Tao n’aimait pas ce monde. Tao changerait le monde.

Il y a quelques années, « on » lui céda le rôle de chef de Kérès. « On » n’était autre que tous les peureux qui n’ont osé s’interposer entre les commandants qu’il tua sans scrupule – dont son tuteur – et lui. Ils étaient trop lents à son goût. La guerre avec la Corée allait éclater, il fallait qu’il agisse. Désormais, il règne en chef incorrigible, intransigeant et sans pitié, il compte bien mettre à feu et à sang la Corée du Sud pour qu’un effet domino se produise et qu’il puisse réformer le système injuste du monde. La folie des grandeurs.


   caractère
   

« Dans ce monde, l'on n’a que la terreur pour se défendre contre l'angoisse. »
Louis Scutenaire


Bien qu’il soit le chef d’une organisation terroriste effrayante et redoutable, il n’est pas si difficile de comprendre Tao, du moins, une fois qu’on a réussi à l’approcher de très près. Et je vous rassure, mes amis, qu’une seule personne a réussi à percer cette défense tyrannique que le chinois a mis si longtemps à échafauder. Et même encore cette personne, n’est peut-être pas capable de le guider et le supporter convenablement puisque Tao vit par lui-même et pour lui-même. Kérès a été créée pour évincer de ce monde l’horrible injustice qui perdure depuis jadis, néanmoins. Et pour cela, le géant a décidé de rétablir la loi du plus fort. Plus tard il n’est pas question de dictature, mais de tribus. Chacun vivra où il voudra, avec ce qu’il voudra et possédera comme bon lui semblera. Vivre en solitaire, démolir la communauté, voilà ce qui semble le bon schéma dans l’esprit du métatron. Pas d’injustice dans ce cas là, puisque si l’on dérobe à quelqu’un, vengeance il pourra se faire. Alors que dans un système communautaire, prendre à quelqu’un sans retour est devenu quelque chose de banal et de tout à fait normal, chose qu’il ne peut comprendre surtout quand on s’amuse à prendre beaucoup trop à des minorités qui n’ont au départ trop peu voire carrément rien. Alors, que d’un autre côté de la ville, de la Terre, on retrouve une villa munie de vingt-sept chambre, les murs faits d’ornements de marbres et d’ors, le sol jonchés par des tapisseries de soie et velours, des bibelots en pierres précieuses. Tellement de choses qui ne sont utiles qu’à augmenter l’égo de ces bourges qui s’amusent à jacasser politique, rire pauvreté et cracher richesse et mondanité. Cela se nomme Injustice. Ce mot, est de loin, le pire ennemi de Tao. Bien plus dégueulasse que les Brigadiers, que les académiciens qui suivent en bon chiens chiens, les ordres d’un gouvernement qui se fout ouvertement d’eux. Si c’est ce qu’ils souhaitent, que bien leur chante, le chinois se fera un malin plaisir à d’abord leur faire éclater la vérité en pleine face puis à les exécuter en guise d’exemple à cette population aveugle, sur-maquillée de rêves et devoirs agaçants. C’est un homme sûr de lui qui ne flanche jamais qu’on a le loisir d’observer. Un homme qui ne craint plus rien, qui n’a surtout plus rien à perdre. Il s’est forgé une mauvaise image, un reflet hideux qui lui convient à merveille car cela lui donne le prétexte de ne plus pouvoir retourner en arrière. D’ailleurs, cela ne lui est jamais vraiment venu à l’esprit. Tao n’a pas d’amis, que des liens sociaux. Il n’a plus d’accroche quoiqu’il lui en reste qu’une, une qui le suit depuis sa plus tendre enfance et qui se concrétise depuis quelques années maintenant, j’entends par là, sa folie vengeresse. C’est ainsi qu’il s’est construit ce côté manipulateur, calculateur. On croit être proche de lui, on croit l’avoir touché et ainsi on pense compter sur lui, on en sourit même. Ce n’est pas tous les jours que Tao vous effleurera avec un joli mot d’amour. Mais comment être aussi naïf ? Comment oser penser que Tao est comme tout autre humain ? Est-il vide ? Non, certainement pas. Mais alors qu’un humain normalement composé est fait de sentiments et d’émotions tout aussi variés possible, Tao n’est fait que de rage, de haine et d’envie de vengeance. Rien n’a réussi à le faire changer, et ça n’a pas été faute d’avoir essayé, après tout l’homme ne naît pas monstre, il le devient. Néanmoins, il semblerait bien que l’humain en Tao est quasiment disparu. Ne resterait-il que l’apparence ? Ou aurons-nous la chance un jour de l’apercevoir sincèrement heureux ? Soyons rêveur un peu, mais pas devant lui, ce serait dangereux. Ce serait faire opposition à son autorité. Avec lui on ne rêve pas, on est réaliste, on obéit sagement et on est rapide et efficace. On ne s’emmerde pas avec des fioritures telles que l’amitié ou la fraternité. Il n’y a rien de fraternel entre tous ces terroristes. Le seul lien qui les lie est cette injustice, cette rage qu’ils ont tous ressentit un jour dans leur vie. Voilà tout. C’est son intransigeance qui fait sa radicalité. Il n’admet, ne supporte, na tolère l’échec. Et c’est quand il ne peut tuer qu’il punit pour donner une leçon à l’un de ses membres qui aurait merdé. Et ne cherchez pas plus loin, à part affaiblir sa colère, cela ne lui a fait ni chaud ni froid ; après tout, il a déjà fait tué la petite-amie de l’un de ses membres juste pour lui faire comprendre. Ca n’était pas amusant, Tao n’est pas fou, mais au moins, ça lui a servit de leçon. C’est son côté  très discipliné qui lui a donné cette forme d’assiduité au travail, cette organisation sans conteste qu’il déteste perturber. Tout doit être exactement comme il l’a souhaité, comme il l’a planifié pour qu’il soit satisfait. Voilà pourquoi jouer à l’improvisation dans une mission donnée directement par le Métatron est quelque chose de saugrenu, de suicidaire et même si cela fonctionne, Tao n’aura pas de pitié à vous faire connaître son mécontentement. Tao fera tout pour atteindre le but qu’il s’est donné. En bon égoïste qu’il est, il n’hésitera pas une seconde à faire tomber qui que ce soit, et de n’importe quelle manière pour y parvenir.  


   secret
   
Tao n'a rien à cacher.



   
Pour tout vous dire, la vérité c'est que je suis Chô et j'ai 21 ans. J'ai connu la guerre parce que j'ai aidé à la créer et je me battrai le plus souvent possible. Pour combattre je me cache derrière sexy Kim Woo Bin qui est un prédéfinis. Et j'ai un compte unique. Si on m'autorise à dire ce que je pense chef, je dirai que venez que j'vous éclate la tronche mouhahahaha!.
   

   
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