▼ Messages : 37 ▼ Points : 1 ▼ Date d'inscription : 25/03/2015
| Sujet: byeol cho hee ♦ I can be anything that you want to Mer 25 Mar - 22:53 | |
| recrue byeol cho hee
|
nom: byeolprénom: cho heeâge: 20 ansdate de naissance: 15 marslieu de naissance: séoulorientation sexuelle: bisexuelleprofession: étudiante + danseuse de lap dance et stripteaseuse dans un club de la mafia coréennenom de code: elle utilise le nom de scène "Crystal" quand elle danse groupe: civilscélébrité choisie: kim seol hyun (aoa)
|
histoireJ'attendais les bras croisés dans la petite pièce qui servait de salle d'attente à mon assistante sociale. J'étais la seule à être venue toute seule, les autres personnes semblaient être des familles. Soupirant juste pour la forme, je regarde mon portable avant qu'elle ne vienne finalement me chercher. Je ne lui adresse même pas un sourire, elle sait comment je suis alors, à quoi bon se donner cette peine ? M'asseyant sur le fauteuil en face de son bureau, j'attends qu'elle s'asseye. Je la fixe droit dans les yeux, sans gêne, sans attente particulière. « Je suis contente de te voir Cho Hee. » me dit-elle. « Comme toutes les semaines. » soufflais-je. Elle fait fit de ma remarque avant d'ouvrir mon dossier. « Alors, est-ce que tu peux me dire comment s'est passé ta semaine ? » Encore et toujours cette même question. Cela faisait maintenant cinq ans que je l'entendais. Cinq ans déjà que je vis toute seule, avec de très brefs et impersonnels contacts avec mon père et sa nouvelle famille.
Si elle avait ressenti un tant soit peu de colère, elle aurait rejeté toute la faute sur son père. Car auparavant ils étaient heureux. Elle s'en souvenait. Elle avait ressenti de la joie, du bonheur auprès de ses deux parents. Sa mère était si gentille, elle s'occupait d'elle à la maison et son père travaillait, mais le soir quand il rentrait, il prenait toujours un petit moment pour être avec sa fille. C'est à ses cinq ans que tout bascula. La petite fut témoin du meurtre de sa mère. Son père était rentré plus tôt du travail et elle avait du aller dans sa chambre. Elle avait dessiné pendant au moins dix minutes et elle avait été si fière de ses dessins qu'elle avait voulu les montrer à ses parents. C'est là qu'elle la vit. Étendue sur le sol, ensanglantée. Avant que son père ne se précipite vers elle, elle avait eu le temps de voir une autre femme à ses côtés.
Abandonnés pour refaire sa vie. Voilà le scénario officiel que donnait son père à ses amis. Sa mère était partie pour refaire sa vie, en laissant une lettre. Cho Hee n'avait même pas pleuré. L'image de sa mère morte était gravée dans sa rétine et le jour où elle vit cette fameuse autre femme dans sa maison, alors que son père lui annonçait qu'elle allait être sa nouvelle maman, elle avait fait une crise terrible. Hurlant, se débattant du haut de ses six ans, elle avait fait ce que son père appelait une colère, un caprice. La petite avait du rester dans sa chambre toute la soirée, sans manger pour la punir de cet accueil. La disparition de sa mère avait totalement changé la petite fille. Si auparavant, elle était joyeuse, joueuse, rieuse, elle s'était vite renfermée sur elle-même. C'est à l'école qu'on nota ses changements inquiétants, mais on mis ça sur le compte de la fuite de sa mère. À la maison, Cho Hee ne parlait pas ou alors par monosyllabe. Elle ne regardait personne dans les yeux, sauf quand elle se mettait en colère. Colères qui redoublaient d'importance au fils des années. La jeune fille devenait violente, insultante, elle n'obéissait plus. En dehors de cela, elle n'exprimait plus rien. C'est à douze ans qu'elle fugua pour la première fois. Elle avait songé à dénoncer son père et sa belle-mère à la police. Mais allait-on la croire, elle, une gamine qui n'avait que cinq ans à l'époque ?
Elle fut retrouvée facilement. Sauf que rapidement, même la colère ne fut plus exprimée. Cho Hee contenait tout en elle, elle était devenue une poupée. Son père en profita pour l'emmener à l'hôpital où le diagnostic tomba simplement parce que les médecins avaient été généreusement récompensés pour leur travail sur la coréenne. Sociopathe. À interner d'urgence. Elle passa trois ans dans une clinique spécialisée pour les jeunes souffrant de maladies mentales. Dans cette clinique, elle ne fit aucun effort pour s'ouvrir, de toute façon, elle était déjà casée. La sociopathie ne se guérit pas et il n'y a aucun traitement, seuls des thérapies peuvent être faites. Sauf que la jeune fille ne prononçait pas un mot. Elle avait mis mal à l'aise bon nombre d'infirmière avec son visage et son regard neutre, sans aucune expression. Même l'ennui n'existait pas chez elle. Elle se contentait d'attendre, n'étant atteinte par rien de particulier. Et puis finalement elle comprit que si elle voulait sortir de là, il allait falloir faire un effort.
C'est dans le cinéma qu'elle trouva sa porte de sortie. Regardant une dizaines de films et des séries par semaine, elle tenta de mémoriser les expressions, les comportements, les émotions des acteurs, les calquant. Si au début, les copier était compliqué et surtout pas du tout naturels pour elle, elle avait appris à ce que cela soit plus réactif. Ses efforts ont été pris en compte et c'est à 16 ans qu'elle ne fut plus jugée dangereuse à en rester enfermée. Néanmoins, elle resta sous surveillance. Toutes les semaines quoi qu'il arrivait, elle devait se rendre à son fameux rendez-vous chez son assistance sociale. Pourquoi ? Pour s'assurer qu'elle ne replonge pas comme avant. Et surtout parce que son père ne la voulait plus sous son toit. Alors elle avait eu un logement payé par l'état. Oui elle était aidée, peut-être avait-on pitié d'elle ? Elle ne savait même pas ce que c'était.
« Cho Hee ? » Mettant de côté ce passé, je reporte mon attention sur elle. « Alors, ta semaine ? » Comme d'habitude depuis cinq ans. J'étais à la fac désormais, je suis des cours de psychologie pour montrer ma bonne fois à comprendre les émotions humaines, à comprendre les autres. Mais au final, je m'en fiche totalement. Surtout que l'un de mes professeurs est un des psychologues de mon ancienne clinique, il m'a reconnu et j'ai l'impression qu'il me surveille lui aussi. Personne ne sait comment je suis. Mon passé est au fond d'un placard, je cache au mieux cette absence d'émotions, avec difficulté, mais j'arrive à passer pour une étudiante banale, un peu je m'en foutiste, renfermée et violente, mais qu'importe. « Normale. J'ai été en cours, tous les jours. J'ai appris de nouvelles choses sur le comportement humain, c'était très intéressant. » Et puis il y avait mon travail. J'étais retombée dans le monde de la rue qui m'avait laissé un sentiment étrange au moment de ma fugue. J'avais sentie la dangerosité de la rue, des personnes qui s'y trouvaient. Alors j'avais trouvé ce travail dans un club, dont j'avais rapidement compris qu'il était dirigé par la mafia coréenne. Il semblerait que mon corps ait suffit pour me faire engager, après tout la conversation n'était pas réellement nécessaire dans ce que j'allais faire. Danseuse de pole dance et strip-teaseuse. Bon on m'a quand même demandé de sourire un peu plus. Je m'y applique. C'est si simple de faire semblant désormais. Ils se font tous avoir. Faut dire que j'ai pris l'habitude de prendre une dose de drogue avant de monter sur scène. Ça me permet d'être plus « émotive ». C'est bien quand je suis sous l'influence de drogue que je ressens enfin quelque chose. Car je veux ressentir quelque chose. C'est ça qui me motive. Et si cette foutue assistance ouvrait les yeux plus loin que son dossier, elle saurait que la détermination est belle et bien une émotion. Mais pour l'instant, à défaut de ressentir quoi que ce soit, la drogue m'aide.
« Je sors de temps en temps, avec des personnes de la fac. Mais je préfère me concentrer sur mes études. » L'assistante me regarde un moment sans rien dire avant d'écrire deux trois phrases dans le dossier. « Bien, essaye de sortir un peu plus. Et d'aller peut-être voir ta famille ? » Ma famille est morte salope. La seule personne qui était ma famille, c'était ma mère et ses bâtards l'ont tué. Voilà ce que je lui dirais si j'avais un tant soit peu de colère à exprimer. « Non, je n'en ressens pas le besoin. » Elle me fixe encore avant de noter une phrase et de reprendre. « Au fait, je sais que tu as de nouveau reçu cette lettre pour l'académie. Ne t'en fais pas, ce n'est qu'une erreur, ton dossier n'avait pas été mis à jour depuis ta sortie de la clinique. » Vraiment ? Une sociopathe dans leurs rangs ça ne les tentait pas ? Ce n'était pas étonnant, au moins cette qualification de malade m'offrait le luxe de ne pas avoir à protéger mon pays. La peur, qu'est-ce que c'est ? Le terrorisme ne m'effraye pas, cette guerre non plus. Je pensais que cela aurait pu éveiller de la peur en moi, et bien, il en faut plus. L'assistante sociale se lève. « Bien, à la semaine prochaine Cho Hee. » Je ne lui dit pas au revoir, pas la peine et je quitte son bureau. Je ne sais pas quand ces séances s'arrêteront. caractèreLorsqu'on la voit de loin, c'est le mot solitaire qui vient tout de suite à l'esprit. La jeune femme est généralement seule, car lorsqu'elle est seule, elle n'a pas besoin de simuler quoi que ce soit. Des éclats de rire, des sourires, de la compassion pour ses amies, de l'empathie tout simplement. Cho Hee est incapable de ressentir quoi que ce soit depuis l'âge de 6 ans, elle est devenue apathique. C'est à cet âge-là qu'elle a enfermé toutes les émotions qu'elle pouvait ressentir. Voilà pourquoi on peut la trouver renfermée, elle ne se mêle pas aux autres, ou alors seulement quand elle y est obligée. Il faut bien faire illusion parfois. Autonome, elle ne ressent de toute façon pas le besoin d'avoir quelqu'un pour l'aider. Dès ses 16 ans, elle a du apprendre à vivre toute seule car son père l'avait éloigné du domicile familiale, la considérant comme dangereuse pour l'équilibre familiale. Classifiée comme dangereux, Cho Hee leur a donné une raison de la craindre en se forgeant un caractère qui dissuade généralement de l'approcher.
Agressive. C'est l'émotion qu'elle a le mieux appris à maîtriser depuis plusieurs années déjà. Elle s'est rendue compte que tout le monde évitait les personnes violentes. Physiquement, elle n'est pas vraiment craint, d'ailleurs on ne se doute pas un seul instant qu'elle puisse être violente ou du moins très impulsive. Ayant appris d'elle-même tout un panel d'émotions, la jeune femme sait réagir impulsivement. Elle a parfois du mal à doser, s'emportant pour pas grand chose, ce qui lui donne cette réputation de fille incontrôlable, qui n'a pas ses mains dans les poches. Mais elle n'a rien d'une grosse brute, d'une terreur des bacs à sables, quand elle frappe c'est généralement dans la rue. La rue est son nouveau monde, mais c'est un monde bien dangereux pour une femme, alors elle n'hésite pas. Si vous tentez de la toucher que vous soyez à l'extérieur ou dans le club, elle saura vous faire comprendre de filer très rapidement la queue entre les jambes.
Cette manie de toujours traîner dans la rue, dans les quartiers non-fréquentables et surtout fréquenter les mauvaises personnes lui a donné une image rebelle, anti-conformiste à la société et surtout irresponsable. Elle n'est pas du genre à choisir la fuite, car la peur lui est inconnue. Tout ce qui est dangereux, elle l'accepte, car elle n'a pas de limites. Les limites sont bons pour ceux qui ont des émotions car ils savent où s'arrêter, pas elle. Elle n'est pas une personne que les fils de bonne famille fréquente et c'est tant mieux car elle n'en veut pas de toute façon. Ce qu'elle veut ce n'est pas des cadeaux, de l'attention, c'est de la violence, du danger, pour faire ressortir toutes ces émotions.
Si les médecins avaient été plus regardants, si son père avait tenté de la comprendre, si l'assistante sociale s'intéressait un peu plus à son dossier, ils auraient remarqué que la jeune femme reste néanmoins déterminée malgré son absence de toute autre émotion. Elle veut à tout prix ressentir, être comme les autres. Mais ce déclic qui a permit à ses émotions de disparaître bloque toutes ses tentatives. De plus, si on y regarde de plus près, on peut voir en Cho Hee ce qui pourrait ressembler à de la curiosité. Toutes ses émotions, ses expressions du visages, elle les a appris grâce aux films, aux séries télévisées. Elle en regarde énormément afin d'apprendre à mieux simuler ce qu'elle doit ressentir selon les autres, ceux qui la regardent, lui parlent, la jugent.
secret cho hee ne ressent aucune émotion, aucun sentiment de joie, d'amour, de colère, de tristesse, de crainte ou de honte. son père l'a fait diagnostiquée sociopathe quand elle avait 12 ans. mais si son père n'avait pas graissé la patte aux médecins, ceux-ci auraient pu se rendre compte que la jeune fille a simplement enfermée ses émotions au fond d'elle-même pour ne plus jamais rien ressentir, afin de ne pas être blessée. cho hee ne ressent des émotions, quelques unes seulement et essentiellement des émotions basées sur la colère que lorsqu'elle se drogue. elle est allée d'elle-même dans ce club tenu par la mafia. la proximité avec des personnes aussi dangereuses lui fait penser qu'elle pourrait commencer à ressentir des émotions liées à la crainte. voilà pourquoi elle s'est faite engagée comme danseuse de lap dance (concluant généralement à du striptease) dans ce club. malgré tout, elle ne ressent toujours rien. Pour tout vous dire, la vérité c'est que je suis hisae. et j'ai 23 ans . J'ai connu la guerre parce que je suis déjà en train de la combattre èé et je me battrai 5/7. Pour combattre je me cache derrière kim seol hyun (aoa) qui est un inventé. Et j'ai un triple compte oh yeah. Si on m'autorise à dire ce que je pense chef, je dirai que je vous aime trop alors je reviens dessus une troisième fois avec ma petite myuu . |
|
▼ Messages : 37 ▼ Points : 1 ▼ Date d'inscription : 25/03/2015
| Sujet: Re: byeol cho hee ♦ I can be anything that you want to Jeu 26 Mar - 13:19 | |
| Ren arrête de foutre du sang partout sur ma fiche s'il te plait T'as vu çaaaa, mais en fait on fait ça JUSTE pour toi, pour t'embêter merci, fais attention sous cette tête, j'hésiterais pas à te frapper |
|
▼ Messages : 37 ▼ Points : 1 ▼ Date d'inscription : 25/03/2015
| Sujet: Re: byeol cho hee ♦ I can be anything that you want to Ven 27 Mar - 2:11 | |
| |
|
▼ Messages : 394 ▼ Points : 0 ▼ Date d'inscription : 22/02/2015
| |